Titulaire d’un baccalauréat en communication politique et société et candidate à la maîtrise en Science politique concentration relations internationales, politique étrangère, coopération et développement à l’Université du Québec À Montréal (UQÀM), Karine Gauthier étudie la mondialisation de l’industrie du sexe dans le cadre de son mémoire. Voulant jumeler la recherche scientifique et l’implication sociale, elle a fait un stage en radio-journalisme au Togo puis à la Concertation des Luttes contre l’Exploitation Sexuelle (CLES) durant lequel elle est devenue membre de l’équipe de solidarité et du comité ressources.
Ce texte est un travail effectué dans le cadre du cours POL-8501. Les opinions exprimées et les arguments avancés dans cette publication demeurent l’entière responsabilité de l’auteure et ne reflètent pas nécessaire ceux du CIRDIS ou de son comité scientifique.